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Dans une ruche, les abeilles adultes s’activent avec frénésie, chacune de son côté, pour accomplir différentes besognes, au service de la colonie.
Les abeilles ouvrières ont pour devoir de veiller jour et nuit sur la ruche et ses habitants, jeunes et adultes.
On connait au myosotis des surnoms à résonance amoureuse, du genre : « ne m’oubliez pas », « souvenez-vous de moi », « aimez-moi », « pensez à moi », « plus je vous vois, plus je vous aime ».
L’apiculteur ne se contente pas de regarder ses colonies abeilles peupler ses ruches, et ensuite se réjouir de récolter le miel.
L’objectif majeur de tout apiculteur est de maximiser la productivité de son rucher, et de limiter le taux de mortalité de ses colonies.
Les asters sont connus chez les scientifiques sous le nom de Symphyotrichum. Ce sont des genres de plantes mellifères de la famille des Asteraceae.
Une ruche ne déverse pas le miel par pur hasard. En amont, il y a tout un travail que se partage l’apiculteur avec les abeilles nourrices.
La pollinisation des plantes et des arbres dépend du vent et des insectes pollinisateurs. Mais rien n’empêche l’agriculteur d’avoir un œil sur cette parade de la nature.
Le lys (écrit aussi : lis) serait le roi des fleurs, à l’instar de la rose qui en est la reine. Derrière la belle fleur se cache une plante mellifère du genre Lilium.
Le réséda est un genre de plantes mellifères de la famille des Résédacées. Le nom latin de cette herbacée, resedare, au sens de « calmer », fait référence aux vertus apaisantes de certaines espèces.
Le muflier, Antirrhinum majus, est une plante mellifère de la famille des Scrofulariacées qui regroupe aussi le mimulus, la digitale et la linaire.
Le souci officinal, Calendula officinalis de son nom scientifique, est une plante mellifère de la famille des Asteraceae, qui regroupe, entre autres, l’arnica, le pissenlit et la marguerite.
Chaque année, au printemps, une lutte contre les frelons asiatiques s’engage. Cela passe par l’utilisation d’une technique appelée le piégeage des fondatrices. On vous en dit plus dans cet article.
Dans les années 1940 l’ethnologue Autrichien Karl von Frisch s’est intéressé aux modes de communication des abeilles. Il a ainsi été le premier à décrypter le langage des abeilles