





En ce moment, choisissez votre cadeau dans votre panier dès 79€ !
Oui, une abeille peut piquer. Mais elle ne le fait pas pour le plaisir. C’est un acte défensif, pas offensif. En général, elle ne pique que si elle se sent menacée ou coincée. Sur la fleur, elle ne s’intéresse qu’au nectar. Pas à toi. Et au rucher, ce n'est pas un hasard si les apiculteurs sont protégés.
Seules les femelles piquent. Plus précisément, les ouvrières. Les mâles, eux, n’ont pas de dard. Quant à la reine, elle peut piquer, mais c'est relativement rare. La reine ne sort pas beaucoup de la ruche à part pendant la période de l'accouplement qui n'arrive qu'une seule fois dans toute son existence.
Souvent oui. L’abeille laisse son dard planté dans la peau, avec une partie de son abdomen. Ce traumatisme lui est fatal, en général dans les minutes qui suivent.
Mais ça ne vaut que pour les piqûres sur des mammifères à peau épaisse, comme nous. Quand elle pique un autre insecte, elle peut parfois retirer son dard et survivre.
Lorsqu'elle pique, l'abeille plante son dard dans la peau. Le dard contient du venin qui entraîne une réaction du système immunitaire et des cellules de la peau. Ça pique, ça brûle un peu, puis ça gonfle. Rougeur, chaleur locale, démangeaisons… Le plus souvent, cela reste modéré. Une zone d’enflure de quelques centimètres apparaît autour du point de piqûre et s’estompe en 24 à 48h.
Sur les zones sensibles (paupières, lèvres, doigts), la réaction peut sembler plus impressionnante, mais sans être forcément plus grave.
Il faut différencier la douleur immédiate — vive, brève — de la réaction inflammatoire, qui peut durer plusieurs heures.
Oui, dans certains cas. Ce sont surtout les réactions allergiques qu’il faut surveiller. Elles concernent une minorité de personnes, mais elles existent.
Il y a les réactions locales intenses : la main entière qui gonfle après une piqûre sur un doigt, par exemple. C’est impressionnant mais pas forcément dangereux.
Et puis il y a les vraies réactions allergiques généralisées (œdème de Quincke, choc anaphylactique) : urticaire étendue, gêne respiratoire, malaise, nausées… Là, c’est urgence vitale. Appel au 15 sans attendre.
Oui, parfois. Ce n’est pas le plus fréquent, mais ça arrive. Le lendemain ou deux jours plus tard, une douleur peut revenir, un gonflement réapparaître, un petit bouton se former. C’est lié à la réponse immunitaire, pas forcément à une infection.
Si la zone devient chaude, rouge, douloureuse au toucher, avec fièvre éventuelle, alors là on pense plutôt à une surinfection. Ce n’est pas courant, mais ça mérite une consultation.
Si besoin, un antihistaminique ou une crème à base de cortisone peuvent aider. Mais dans la plupart des cas, on n’a besoin de rien. Juste de patience.
C’est un sujet délicat. Certaines pratiques comme l’apipuncture utilisent les piqûres d’abeille à visée thérapeutique, notamment dans les douleurs chroniques, les rhumatismes, certaines maladies auto-immunes. Cela s’appuie sur la présence de la mélittine, un des composants du venin, qui a un effet anti-inflammatoire.
Mais attention : ce n’est pas sans risque et ne s’improvise pas. Et ce n’est pas reconnu officiellement comme une thérapie validée. Certaines personnes réagissent très mal à la répétition des piqûres.
Donc non, on ne cherche pas volontairement la piqûre pour “booster son immunité”. On la subit, parfois, et on la gère. Rien de plus.
Les piqûres d’abeilles sont rarement dangereuses. Cependant, le risque est important quand on se fait piquer à plu [...]
Les piqures de certains insectes peuvent être à la fois douloureuses et dangereuses. Ce qui n’est pas le cas du fre [...]
Le cancer du sein est la première cause de décès par cancer chez les femmes. Une étude à mis en avant un lien entr [...]
Le venin d'abeille est récolté pour ses propriétés thérapeutiques. Il est récolté par l’électrostimulation des abeilles.
Si le caractère indispensable des abeilles pour notre survie n’est plus à présenter, il faut rappeler que ces dern [...]